Un week-end sur deux - le film

UN WEEK-END SUR DEUX
(Every other weekend)

un film de Nicole Garcia avec Nathalie Baye. (France, 1990 -1h 40-)

Sorti en France le 29 août 1990.

 

Dossier de presse de 20 pages avec photos couleur & noir et blanc. Format A4.

Contenu: Synopsis. Extraits de dialogues. Le personnage de Camille. Propos de Jacques Fieschi. Filmographies de Nathalie Baye et de Nicole Garcia. Cinéma/S/ Languedoc-Roussillon (la production). Fiche technique. Fiche artistique.

 

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Synopsis du film (résumé) : Le début d'un week-end d'avril. Camille attend Vincent (dix ans) et Gaëlle (cinq ans), ses enfants dont elle n'a pas la garde, et qu'élève leur père, Adrian.
Ce n 'était pas prévu, mais elle les emmène à Vichy, où elle doit animer un gala pour le Rotary Club de la ville. Camille est actrice. Elle ne voulait pas y aller. Finalement elle a dit oui. Elle dit toujours oui ... comme si cela ne rengageait pas.
A Vichy, la comédie provinciale révèle les aspects les plus dérisoires, les plus décalés de son métier. Sous les protecteurs d'un hôtel qu'on inaugure, elle récite au micro des paroles d'accueil et la liste des sponsors.
Mais la voix d'Adrian fait irruption dans ces festivités. Il lui parle au téléphone avec violence : pourquoi a-t-elle mêlé les enfants à ces «guignolades» ? Sera-t-elle toujours irresponsable ? Elle n 'a jamais su donner de temps à personne ...
Alors soudain, Camille rompt le contrat. Elle quitte la scène, court dans les couloirs, emmène les enfants avec elle, vole la voiture «mise à sa disposition». Elle est partie. Elle roule droit devant elle, toute la nuit, vers le sud.
Le dimanche est passé. Mais Camille ne revient pas. Elle a forcé les limites de ce temps précaire qu'autorisent les règles du divorce. Sur les routes de France, tandis que derrière elles commencent les recherches, elle invente un sursis. Elle devient hors-la-loi.
Quel rêve poursuit-elle ? Vaincre l'hostilité de Vincent, ce petit garçon buté, secret, méthodique, qui, à chaque instant, lui reproche sa désertion sans le dire. Cet enfant qui voudrait interdire à sa soeur et à lui-même tout accès à cette mère.
Camille, d'abord maladroite, apprivoise peu à peu cette rébellion silencieuse. Elle rejoint Vincent dans son refuge : sa passion pour l'astrophysique, les étoiles, et surtout les pierres venues du ciel, les cailloux de la formation du monde - les météorites.
Improvisant, inventant, elle entre dans le rêve de Vincent : prévoir et voir la chute des corps célestes. «Si je les vois le premier, elles porteront mon nom», avait dit Vincent sur la plage ...
Le rendez-vous est pris, l'itinéraire est tracé. Il faut passer la frontière. C'est là-bas, en Espagne, sur un plateau désertique, un lieu-dit qu'elle a marqué en rouge sur la carte... «Mais on ne peut pas prévoir ...» dit Vincent, fasciné. «Oui», répond Camille, «il faut savoir attendre ... »
Mais en Espagne, Vincent ... (Source: Dossier de presse / Cinepress)

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